En 1984, j’ai considéré cette toile comme étant la synthèse des huit dernières années, en ce sens qu’on retrouve les rythmes, la naïveté, l’académisme et l’allégorie empruntés à Victor Hugo.
En 1984, j’ai considéré cette toile comme étant la synthèse des huit dernières années, en ce sens qu’on retrouve les rythmes, la naïveté, l’académisme et l’allégorie empruntés à Victor Hugo.