À travers la production d’un surréalisme un peu trop anecdotique, ici, pour ces deux oeuvres [“Cité Active” et “Cité Moderne”], je me livre à une certaine recherche personnelle. Dans chaque cas, c’est la “cité” qui émerge. L’une semble issue du maçonnage et de la superposition murale. L’autre se révèle d’un schéma plus géométrique, voire adapté à une modernité métallique.